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pasqup01 a écrit:Plus que la liberté, Red Bull m'évoque les jeux du cirque où la pression du spectateur / sponsor impose aux pratiquants un toujours "plus" (...près de l'hôpital voire du cimetière).
Matttt a écrit:Le problème aujourd'hui, (...) ce sont les mecs sponsorisés qui sont redevables à Red Bull en guignoleries les + absurdes possibles
alexP33 a écrit:pasqup01 a écrit:Plus que la liberté, Red Bull m'évoque les jeux du cirque où la pression du spectateur / sponsor impose aux pratiquants un toujours "plus" (...près de l'hôpital voire du cimetière).Matttt a écrit:Le problème aujourd'hui, (...) ce sont les mecs sponsorisés qui sont redevables à Red Bull en guignoleries les + absurdes possibles
C'est les principes même du sport de haut niveau (spectacle) et du sponsoring non ? on doit pouvoir faire la transposition avec 90% des sponsors et des sports. Quant à "toujours plus près" pour beaucoup de sports tu peux mettre de l'infirmerie...
pasqup01 a écrit:Pas si simple AMHA... si, par exemple, Red Bull organisait Paris Roubaix, on aurait une rampe de saut à ski à l'entrée de la trouée d'Arenberg et deux fossés remplis de cobras de chaque côté... on ne confondra pas cela avec le Citius, Altius, Fortius propre à toute compétition
rickyfirst a écrit:Il y a effectivement un équilibre à avoir entre spectacle et sport.
Dans le cas de Red Bull, on est avec des spectacles sportifs crées de toute pièce sans aucune histoire derrière. Moralité, la seule possibilité pour avoir de l'audience est l'escalade vers le sensationnel. Bref, une philosophie complètement à éviter si l'on vise le long terme dans un domaine sportif précis. Red Bull arrive à faire du long terme car il change de spectacle régulièrement, mais l'on sent bien que le système s’essouffle.
samuel a écrit:Pour les crevaisons, je suis pas sûr que Sagan soit de ton avis.
teamdindon a écrit:samuel a écrit:Pour les crevaisons, je suis pas sûr que Sagan soit de ton avis.
Dans son cas, il y a un gros facteur humain dans ses crevaisons : il a passé son temps à bourriner dans les bas-côtés là où beaucoup restaient sur les pavés.
LewOlive a écrit:On fait le bilan du matos sur Paris Roubaix:
-Le disque, vu chez Delko et Direct Energie. Les équipes qu'on voit assez régulièrement en disques n'en avaient pas, je pense à Cannondale et Quickstep.
-Les chûtes, encore très nombreuses, sont dues à une vitesse très élevée en peloton et à la poussière
-Les crevaisons ont été particulièrement rares cette année et c'est une tendance de fond ces dernières années, elles baissent probablement avec l'arrivée des boyaux de 28mm moins gonflés. Sur ce point, il semblerait que les fabricants soient capable de vraiment optimiser la monte pneumatique, ayant à leur dispositions de nombreuses versions pour chaque type de terrain.
teamdindon a écrit:Ça se fait encore de monter un "gros" petit plateau pour Paris-Roubaix (en voyant la photo du Cannondale ci-dessus, je dirais que oui) ?
Comment font ceux qui ont des pédaliers Shimano avec les combinaisons de plateaux hyper verrouillées ?
Jguy a écrit:Non, le numéro 33 était celui de Clarke. Langeveld n'avait pas de disques.
Juju_1008 a écrit:Jguy a écrit:Non, le numéro 33 était celui de Clarke. Langeveld n'avait pas de disques.
Mea Culpa c'était bien Clarke qui roulait avec ce proto.
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Naesen avec des boyaux "Continental Roubaix edition" gonflés à... 3.5bars![]()
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rickyfirst a écrit:Faut 'aimer' le comportement sur asphalte avec si peu de pression.
Jguy a écrit:Non, le numéro 33 était celui de Clarke. Langeveld n'avait pas de disques.
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