crazymountainbiker a écrit:En tubeless, on a moins de chance de pincer... !
Je pense que le premier truc à soigner, c'est le pilotage. Sur la trans, le but est avant tout de finir. Donc on ne va pas attaquer comme des porcs pour gagner 1 minute par descente. Je sais qu'en 2007, je faisais gaffe à ne pas m'enflammer. J'avais des pneus de 500 g + chambres à air... zéro crevaison ! Et j'étais gros et en semi rigide pourtant !
L'an dernier, j'ai participé à un enduro, avec des pneus plus solides, mais en bourrinant un peu. 10 km de descente => 4 crevaisons.
Tout est histoire de compromis. Il faut juste connaitre les limites de son matériel, et garder une p'tite marge de manoeuvre !
M'enfin, malgré mes belles théories, je suis toujours indécis quant à la monte pneumatique idéale

je suis tout a fait d'accord avec ton ananlyse.
Quand j'entend parler de pneus pour la transV en 2.4

des souvenir refont surface.
En 1989 j'ai acheté un "mountain bike" chez carrefour, je ne précise pas tout rigide car il n'y avait que ça à l'époque

, pour participer à ma première compétition.
Ce fut la transvesubienne !
le vélo était équipé de pneus 1.9 à peine crantés.
bilan aucune crevaison.
Alors bien sure, vous allez me rétorquer que les vitesses atteintent dans ces temps anciens ne sont pas comparables avec celles d'aujourd'hui.
Mais justement il faut s'adapter à son matos. et le gas qui choisi un montage light aura intérret à gambader dans les portages et se faire oublier dans les descentes, à l'inverse d'un autre qui aura opté pour un montage enduro
