Benjamin a écrit:Adrien a écrit:Le fait que la roue tourne n'a qu'un faible rapport avec les roulements. Il s'agit surtout de la jante très lourde, donc très inerte qui permet à la roue de tourner très longtemps.
C'est l'inertie ça? C'est le tps que met la roue à s'arreter?
Dc en gros, une superbe jante carbone profilée mais hyper legere, ca vaudra rien sur le plat car au final pas d'inertie?
L'argument du super roulement ceramique qui fait grimper le prix des roues n'est pt etre pas valable à 100%? On pt avoir (pr les cosmic dc) des roulements ordinaires mais une roue fabuleuse ds le domaine pr lequel elle a eté conçu?...
Parceque la qualité premiere d'une roue c'est qd meme d'aller le plus loin possible avant de s'arreter non?
Qu'est ce qu'il y a de mieux actuellement sur le marché que les cosmic sl pr le plat, les courses legerement vallonées et les clm?
Je possede des Zipp 303 maquillées dynatek (les anciennes, juste avant que Zipp ne sorte leur aspect balle de golf), elles st super legeres certes et tres rigide par rapport à leur poids, cependant sur le plat j'ai de moins bonnes sensations qu'avec mes anciennes cosmic carbone sl de 2005, de plus elles se voilent svt apres une course (passage a niveau, nids de poule) et elles st tres sensibles au vent lateral ( à me faire peur au début mtnt j'ai pris le coup de main) alors que les cosmic ne bougeaient pas un poil.
C'est chaud qd meme le matos à gerer, je suis incapable d'evaluer par exemple de combien me fait avancer plus vite les roulements ceramique (si ca me ft reellement avancer plus vite?!), pourtant vu la difference de prix, j'aimerai bien pouvoir le faire!...
J'ai surtout l'impression que pr les roues, à part le poids brute, on gagne pas énormement en allant chercher les modeles inaccessibles financierement et que les sensations generales sur le vélo st bien plus importantes que le poids seul, ai-je tord?
J'ai du mal à accepter l'idée que ceramic+carbone+poids plume =forcement le mieux ds ts les cas mais surtout vu la difference de prix j'aurai aimé ressentir une plus grande difference de rendement...
Pour résumer au maximum:
- une roue n'a pas de moteur
- l'énergie qu'elle restitue lorsque l'on arrête de pédaler provient d'une source
- cette source c'est le coureur
- donc: plus l'énergie restituée est forte (le "syndrome" de la roue qui ne s'arrête pas), plus l'énergie emmagasinée est grande, donc plus le coureur a fourni d'énergie, et donc plus le coureur s'est fatigué.
En résumant un peu moins:
Une roue qui roule longtemps sans que l'on pédale a une très forte inertie et a réclamé beaucoup d'énergie au coureur.
Etant donné qu'une roue ne dispose pas de moteur, l'énergie qu'elle vous restituera en arrêtant de pédaler sera égale à celle qu'elle a emmagasiné lors de l'accélération, moins diverses pertes, donc moins d'énergie que ce que vous lui avez fourni!
Plus la jante est lourde, moins bonne sont les performances.
Sur le plat, à vitesse constante, le poids n'a aucune influence car il n'y a pas de variation de vitesse, donc l'inertie n'a absolument aucun rôle (cf. constatation de Samuël pour ses Lew à jantes de 235g, contre 600g pour les Cosmic), seul l'aérodynamisme compte dans cette situation.
Pour finir, une jante lourde n'est intéressante qu'en descente, et en course la différence se fait à l'accélération et non pas en descente en arrêtant de pédaler.