dams a écrit:La surface de freinage peux se refaire sur une jante carbone.
Doc holliday a écrit:dams a écrit:La surface de freinage peux se refaire sur une jante carbone.
Réparer une jante cassée, je connaissais. Mais refaire la surface de freinage, non. Tu as une idée du prix ? Parce que si ça coute aussi cher que de changer la jante. A partir de quelle gamme c'est intéressant ? C'est surement beaucoup moins sur des chinoiseries que sur des ENVE ou Lightweught par exemple.
tcs a écrit:Tu as eu de la casse avec des pistes de freinage 1K au basalte? .
Ça depend:kawaspresso a écrit:Si la jante est un consommable, combien de temps va durer une paire de jantes carbone pour quelqu'un qui roule à l'année par tous temps en montagne ?
J'envisage de passer en jantes carbone mais pas si les jantes durent 2 ans avant de partir à la benne.
denismag a écrit:tcs a écrit:Tu as eu de la casse avec des pistes de freinage 1K au basalte? .
oui en version clincher des soucis essentiellement dans la version 210 , depuis la 255 RAS . Maintenant , la version avec le 3K twill est " vendue " pour être mieux que la version freinage basalte . De toute façon celui qui descend le Ventoux les mains sur les freins depuis le sommet , en viendra à bout .Mais est ce bien raisonnable de le faire en clincher ?
Orlok a écrit:Ça depend:kawaspresso a écrit:Si la jante est un consommable, combien de temps va durer une paire de jantes carbone pour quelqu'un qui roule à l'année par tous temps en montagne ?
J'envisage de passer en jantes carbone mais pas si les jantes durent 2 ans avant de partir à la benne.
- combien fois on freine;
- les patins de freinages;
- techniques de freinage.
Enfin, identique avec les jantes en alu mais celles-ci freines mieux en temps humide.!
Fat bob a écrit:Est ce bien raisonnable de faire le Ventoux quand on ne sait pas descendre?
dams a écrit:Ta paire de roue carbone n'est pas délaminée en milieu ou fin de descente
denismag a écrit:tcs a écrit:Tu as eu de la casse avec des pistes de freinage 1K au basalte? .
oui en version clincher des soucis essentiellement dans la version 210 , depuis la 255 RAS . Maintenant , la version avec le 3K twill est " vendue " pour être mieux que la version freinage basalte . De toute façon celui qui descend le Ventoux les mains sur les freins depuis le sommet , en viendra à bout .Mais est ce bien raisonnable de le faire en clincher ?
LewOlive a écrit:Le ventoux n'est pas une descente intéressante pour tester des jantes puisque un descendeur ordinaire va freiner avec l'air et les rares épingles seront avalées facilement puisque les freins ne seront pas en surchauffe. Globalement les routes en bon état avec moins de 10% de moyenne ne posent aucun souci sur le sec à un descendeur moyen de moins de 80kg.
Pour moi, un mauvais descendeur, c'est quelqu'un qui connait le parcours et qui n'est pas capable de lâcher les freins dans les enfilades ou de prendre de l'angle dans un lacet. Mais ceux qui font du plat toute l'année à 30kmh et vont une fois l'an en montagne ne sont pas forcément mauvais descendeurs, et ceux qui le sont peuvent rapidement devenir assez bons, c'est une question de confiance et de pratique. Il faut aussi bien connaître son matériel et notamment ses pneus car il peut y avoir des différences importantes, notamment sur le mouillé. Généralement les descentes à plus de 10% de moyenne sont des endroits à problèmes pour le matériel, sauf si la route permet de rouler longtemps sans freiner.
LewOlive a écrit:Le ventoux n'est pas une descente intéressante pour tester des jantes puisque un descendeur ordinaire va freiner avec l'air et les rares épingles seront avalées facilement puisque les freins ne seront pas en surchauffe.
Ajaj a écrit:Tu freine quand tu prend le vent ?
Matttt a écrit:LewOlive a écrit:Le ventoux n'est pas une descente intéressante pour tester des jantes puisque un descendeur ordinaire va freiner avec l'air et les rares épingles seront avalées facilement puisque les freins ne seront pas en surchauffe. Globalement les routes en bon état avec moins de 10% de moyenne ne posent aucun souci sur le sec à un descendeur moyen de moins de 80kg.
Pour moi, un mauvais descendeur, c'est quelqu'un qui connait le parcours et qui n'est pas capable de lâcher les freins dans les enfilades ou de prendre de l'angle dans un lacet. Mais ceux qui font du plat toute l'année à 30kmh et vont une fois l'an en montagne ne sont pas forcément mauvais descendeurs, et ceux qui le sont peuvent rapidement devenir assez bons, c'est une question de confiance et de pratique. Il faut aussi bien connaître son matériel et notamment ses pneus car il peut y avoir des différences importantes, notamment sur le mouillé. Généralement les descentes à plus de 10% de moyenne sont des endroits à problèmes pour le matériel, sauf si la route permet de rouler longtemps sans freiner.
Vous avez déjà vu cette vidéo de descente du Ventoux, avec un mec qui se crashe (sans gravité) à + de 90km/h en faisant un tout droit...en roues carbone à pneus, pour rester dans le sujet : https://youtu.be/33wwpv_Dm3s?t=10m55s
LewOlive a écrit:
La gamelle est due à une vitesse trop élevée par rapport au virage, il bloque la roue arrière et va au tas, c'est une erreur de pilotage non ? Peut être que sa jante ne l'a pas aidé, mais la prise de risques est là. Ensuite le caméraman a ses jantes qui crissent sur le bas de descente, plus sinueux et à l'aspi d'une voiture, ce qui n'arrange rien. Oui le matériel semble inadapté, mais au visuel ils prennent des courbes rapidement de sorte que le vent permet de bien absorber l'énergie cinétique. Il y a pas mal de cols en France qui sont un peu moins raides mais sollicitent davantage les freins, car dans le Ventoux, c'est 90kmh en ligne droite et 60kmh en enfilade, et je pense que des cols où on passe de 80 à 30kmh à chaque lacet, c'est encore plus contraignant. La base, c'est de connaitre son matériel et pas de se jeter à corps perdu dans une descente, à des vitesses inhabituelles. Au delà de 90kmh sur route ouverte, en France quoiqu'on en dise, c'est beaucoup, il y a peu d'endroits qui permettent d'atteindre cette vitesse en sécurité en France.
cherrymoon a écrit:Fat bob a écrit:Est ce bien raisonnable de faire le Ventoux quand on ne sait pas descendre?
C'est peut-être plus raisonnable de l'envisager en étant bon grimpeur et mauvais descendeur que l'inverse, non ?
LewOlive a écrit:Il serait intéressant de mesurer le gain de watts dans 2 conditions: à l'abris dans le peloton à 40kmh, puis seul sans vent à 30kmh.
Oui les gains sont minimes à 30kmh seul, on le sait, mais à 40kmh dans un peloton, la vitesse au vent est très faible et le gain est donc sur la résistante à l'air en rotation et non plus pour fendre l'air qui arrive frontalement.
Il n'y a pas besoin d'un niveau physique hors du commun pour bénéficier de gains aérodynamiques sur les roues, car tout un chacun va facilement descendre un faux plat à 40-45kmh en l'absence de vent.
Si on roule seul avec des jantes aéro, des différences importantes vont se creuser avec des jantes plates sur les sections vent de face où l'on fait l'effort de garder une certaine vitesse de 30kmh environ, car la vitesse au vent va alors être vers les 40-45kmh. Inversement, au retour vent de dos, ce n'est pas parce qu'on roule à 40kmh que l'on va forcément en bénéficier à plein, et dans ce cas il faudra appuyer bien fort pour obtenir un gain de vitesse VS les jantes plates.
LewOlive a écrit:Le ventoux n'est pas une descente intéressante pour tester des jantes puisque un descendeur ordinaire va freiner avec l'air et les rares épingles seront avalées facilement puisque les freins ne seront pas en surchauffe. Globalement les routes en bon état avec moins de 10% de moyenne ne posent aucun souci sur le sec à un descendeur moyen de moins de 80kg.
Pour moi, un mauvais descendeur, c'est quelqu'un qui connait le parcours et qui n'est pas capable de lâcher les freins dans les enfilades ou de prendre de l'angle dans un lacet. Mais ceux qui font du plat toute l'année à 30kmh et vont une fois l'an en montagne ne sont pas forcément mauvais descendeurs, et ceux qui le sont peuvent rapidement devenir assez bons, c'est une question de confiance et de pratique. Il faut aussi bien connaître son matériel et notamment ses pneus car il peut y avoir des différences importantes, notamment sur le mouillé. Généralement les descentes à plus de 10% de moyenne sont des endroits à problèmes pour le matériel, sauf si la route permet de rouler longtemps sans freiner.
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