FKC: Explications techniques

Bonjour,
Quel débordement d’incompréhension sur ma démarche et sur ma technique !
Essayons d’y voir un peu plus clair !
Tout d’abord, la physique du RZW :
Augmentation de la valeur de la chasse au sol, malgré le petit diamètre des roues (qui en passant varie de 309 mm à 316 mm de rayon suivant l’enveloppe utilisée) en restant dans des valeurs d’angle de direction de 73 à 75 ° en pratique le double d’une fourche à déport.
Plus de variation d’assiette du vélo lors des mouvements de guidon.
Roue arrière directionnelle : contrairement au principe de déformation utilisé en automobile, c’est et SEULEMENT lorsqu’on tourne le guidon que la roue arrière s’aligne sur l’angle de la roue avant ; avec un rapport déterminé par la longueur des appuis au sol.
Dans tous les cas le vélo reste parfaitement perpendiculaire au sol.
Le phénomène ne s’applique pas dans les phases de mouvements de gauche à droite du vélo (danseuse et relance) mais accélère le vélo quand vous prenez un virage, car à cet instant précis vous tournez le guidon.
Les roues s’alignent donc sur le même axe, en plus d’éliminer les frottements pneus – sol, puisque vous conservez un centrage parfait sur la ligne de direction.
Il en résulte que le vélo roule toujours droit si pas de mouvement de guidon et les roues toujours alignées même dans un virage.
Ensuite l’asymétrie du cadre :
Alignement du diabolo de rayonnage arrière dans l’axe centre cadre jantes
Déport du pédalier pour être à zéro degré de ligne de chaîne sur les 5 pignons du milieu de la K7.
Déport du boitier de pédalier (75 mm) qui n’est pas placé symétriquement sur le milieu du cadre, ceci pour implanter les bases avec un bras de levier différent à gauche et à droite afin d’uniformiser les efforts de torsions résultant de l’alternance des forces sur les pédales qui sont vectorisées sur la ligne de chaîne.
De plus, bases, haubans, pattes arrières droit et gauche sont de formes , d’épaisseur, d’angulation différente pour absorber les efforts supplémentaires du côté de la chaîne .
Pour le calage de mon axe, il faut : sur une longueur de 113 mm écarter les roulements, calculer la longueur des entretoises pédalier/roulement pour que
tout fonctionne ave un facteur Q performant et une symétrie parfaite des pédales par rapport à l’axe des roues.
Puisqu’on parle du facteur Q : combien d’entre vous se sont posés l’idéale question : quelle est la mesure parfaite pour moi ? en fonction de la largeur de mon bassin, de la varisation ou valgisation de mes genoux et de mes têtes fémorales ….
Cela me semblerait plus intelligent que de prendre en référence une mesure qui vous est imposée de toutes façons par le fabricant.
Pour le centrage des masses sur le vélo, sachez que je délimite un espace d’expression en fonction de vos mensurations et çà dans toutes les positions possibles sur le vélo.
Ensuite les longueurs de bases, d’empattements,sont déterminées pour harmoniser les contacts au sol avec votre sphère d’expression corporelle (étude dynamique).
Les faisceaux opposés du rayonnage font que la tension sur les 2 ou 4 rayons sollicités est répartie sur la nappe diamétralement opposée.
L’écrou gyroscopique dont la définition n’entend pas une quelconque notion de vitesse de rotation : effet gyroscopique : permet de placer un axe de rotation dans une direction quelconque et de la conserver !
En clair : l’écrou qui a une assise hémi sphérique permet d’obtenir des points de tangence parfaits en sortie de jantes/moyeux.
De plus l’assise hémi sphérique permet d’uniformiser la charge de tension dans l’épaisseur de la jante (pas standard la jante puisque usinée pour cette demi sphère !).
Les filets de l’écrou étant positionnés au-dessus du plancher de la jante, et pas en dessous comme sur un écrou standard, permet d’appliquer la force de tension sur la coupelle d’orientation qui est à ce moment là une masse de répartition d’effort à 180°.
Ceci permet aux rayons d travailler en partie en compression et de mettre la roue en situation de travail comme le ferait une roue pleine.
Au cas où certains d’entre vous l’ignoreraient : lorsque vous roulez sur un vélo, vous tenez suspendus sur les rayons placés au dessus du moyeux !!
Eh oui !
Sur les roue en carbone : en se servant de la vitesse de rotation des rayons d’une « petite roue », on améliore par « léchage » la dispersion de la chaleur sur l’inox des rayons (très conductibles). Le problème (chimique) est la liaison au contact carbone/inox qui est très peu performante.
D’où le revêtement spécial de mes écrous.
Tout ceci permet une paire de roues à 9OO grs que je peux mettre sous le cul de mes Clients !!!
Et qui s’en servent !!!
Pour monter, descendre et freiner.
Avec un freinage équivalent à celles des jantes alu, et parmi les plus rigides latéralement.
Oui, ce n’est qu’un écrou de rayon, mais il permet d’aller un peu plus loin !!!
Je m’arrête là, car je pense que dans très peu de temps, le « gourou » de FKC va encore déclencher la polémique !
A ce moment là, je pourrai encore développer quelques points techniques qui interpellent quelques uns d’entre vous.
Sans rancune,
Cordialement à tous,
F. Kérautret
Quel débordement d’incompréhension sur ma démarche et sur ma technique !
Essayons d’y voir un peu plus clair !
Tout d’abord, la physique du RZW :
Augmentation de la valeur de la chasse au sol, malgré le petit diamètre des roues (qui en passant varie de 309 mm à 316 mm de rayon suivant l’enveloppe utilisée) en restant dans des valeurs d’angle de direction de 73 à 75 ° en pratique le double d’une fourche à déport.
Plus de variation d’assiette du vélo lors des mouvements de guidon.
Roue arrière directionnelle : contrairement au principe de déformation utilisé en automobile, c’est et SEULEMENT lorsqu’on tourne le guidon que la roue arrière s’aligne sur l’angle de la roue avant ; avec un rapport déterminé par la longueur des appuis au sol.
Dans tous les cas le vélo reste parfaitement perpendiculaire au sol.
Le phénomène ne s’applique pas dans les phases de mouvements de gauche à droite du vélo (danseuse et relance) mais accélère le vélo quand vous prenez un virage, car à cet instant précis vous tournez le guidon.
Les roues s’alignent donc sur le même axe, en plus d’éliminer les frottements pneus – sol, puisque vous conservez un centrage parfait sur la ligne de direction.
Il en résulte que le vélo roule toujours droit si pas de mouvement de guidon et les roues toujours alignées même dans un virage.
Ensuite l’asymétrie du cadre :
Alignement du diabolo de rayonnage arrière dans l’axe centre cadre jantes
Déport du pédalier pour être à zéro degré de ligne de chaîne sur les 5 pignons du milieu de la K7.
Déport du boitier de pédalier (75 mm) qui n’est pas placé symétriquement sur le milieu du cadre, ceci pour implanter les bases avec un bras de levier différent à gauche et à droite afin d’uniformiser les efforts de torsions résultant de l’alternance des forces sur les pédales qui sont vectorisées sur la ligne de chaîne.
De plus, bases, haubans, pattes arrières droit et gauche sont de formes , d’épaisseur, d’angulation différente pour absorber les efforts supplémentaires du côté de la chaîne .
Pour le calage de mon axe, il faut : sur une longueur de 113 mm écarter les roulements, calculer la longueur des entretoises pédalier/roulement pour que
tout fonctionne ave un facteur Q performant et une symétrie parfaite des pédales par rapport à l’axe des roues.
Puisqu’on parle du facteur Q : combien d’entre vous se sont posés l’idéale question : quelle est la mesure parfaite pour moi ? en fonction de la largeur de mon bassin, de la varisation ou valgisation de mes genoux et de mes têtes fémorales ….
Cela me semblerait plus intelligent que de prendre en référence une mesure qui vous est imposée de toutes façons par le fabricant.
Pour le centrage des masses sur le vélo, sachez que je délimite un espace d’expression en fonction de vos mensurations et çà dans toutes les positions possibles sur le vélo.
Ensuite les longueurs de bases, d’empattements,sont déterminées pour harmoniser les contacts au sol avec votre sphère d’expression corporelle (étude dynamique).
Les faisceaux opposés du rayonnage font que la tension sur les 2 ou 4 rayons sollicités est répartie sur la nappe diamétralement opposée.
L’écrou gyroscopique dont la définition n’entend pas une quelconque notion de vitesse de rotation : effet gyroscopique : permet de placer un axe de rotation dans une direction quelconque et de la conserver !
En clair : l’écrou qui a une assise hémi sphérique permet d’obtenir des points de tangence parfaits en sortie de jantes/moyeux.
De plus l’assise hémi sphérique permet d’uniformiser la charge de tension dans l’épaisseur de la jante (pas standard la jante puisque usinée pour cette demi sphère !).
Les filets de l’écrou étant positionnés au-dessus du plancher de la jante, et pas en dessous comme sur un écrou standard, permet d’appliquer la force de tension sur la coupelle d’orientation qui est à ce moment là une masse de répartition d’effort à 180°.
Ceci permet aux rayons d travailler en partie en compression et de mettre la roue en situation de travail comme le ferait une roue pleine.
Au cas où certains d’entre vous l’ignoreraient : lorsque vous roulez sur un vélo, vous tenez suspendus sur les rayons placés au dessus du moyeux !!
Eh oui !
Sur les roue en carbone : en se servant de la vitesse de rotation des rayons d’une « petite roue », on améliore par « léchage » la dispersion de la chaleur sur l’inox des rayons (très conductibles). Le problème (chimique) est la liaison au contact carbone/inox qui est très peu performante.
D’où le revêtement spécial de mes écrous.
Tout ceci permet une paire de roues à 9OO grs que je peux mettre sous le cul de mes Clients !!!
Et qui s’en servent !!!
Pour monter, descendre et freiner.
Avec un freinage équivalent à celles des jantes alu, et parmi les plus rigides latéralement.
Oui, ce n’est qu’un écrou de rayon, mais il permet d’aller un peu plus loin !!!
Je m’arrête là, car je pense que dans très peu de temps, le « gourou » de FKC va encore déclencher la polémique !
A ce moment là, je pourrai encore développer quelques points techniques qui interpellent quelques uns d’entre vous.
Sans rancune,
Cordialement à tous,
F. Kérautret